CENTRAFRIQUE/ Boulangerie « le Bon Samaritain », le fruit d’un long et productif sacrifice

  • Christian Mamadou
  • ECONOMIE
PDG, Augustin Kozibet-Koumba
PDG, Augustin Kozibet-Koumba

Située aux encablures du marché Gobongo dans le 4è arrondissement de la ville de Bangui, la Boulangerie « Le Bon Samaritain » allie nationalisme et le savoir-faire centrafricain dans sa quintessence appropriée. Cette Boulangerie qui offre un pain de qualité aux Centrafricains reste et demeure une entreprise centrafricaine tenue par M.Augustin Kozibet-Koumba.

Un Centrafricain extraordinaire qui s’est saigné pour améliorer la condition d’alimentation de ses frères et sœurs sur la terre de ses aïeux en leur offrant un met de qualité. Le rejeton de Bossangoa a développé une intelligence très joviale dans le but de satisfaire les cinq millions d’âmes que compte la République Centrafricaine.

En garantissant à ses compatriotes de se ravitailler des pains qui répondent aux normes universelles contrairement à ce qui est offert dans la capitale et recoins de la République Centrafricaine, Augustin Kozibet-Koumba rejoint le couple Touadéra-Sarandji dans leur quête des valeurs, dans cette circonstance où les antivaleurs ont pris le dessus dans notre société. Opter pour le renouvellement des valeurs rime inéluctablement avec le sacrifice. C’est dans cette optique que le PDG du « Le Bon Samaritain » passe souvent le clair de sa nuit à suivre le cycle de la production du pain.

Nuit blanche oblige. Dans l’ultime objectif : veiller au bon grain pour satisfaire sa clientèle. Ce cadre offensif de la créativité centrafricaine fait l’objet des convoitises et autres dénis qui visent à peindre en noir les idéaux nationalistes prônés par ce Centrafricain qui a soif de voir son semblable s’approvisionner en produit de meilleure qualité. Les populations environnantes ne regrettent aucunement rien par la qualité de cette offre qui répond à des normes rationalisées. Cette ingénierie imputable à un Centrafricain mérite une carte blanche et exige des nouvelles autorités une attention toute particulière. Ce, dans le cadre de la promotion des initiatives locales. C’est ici le lieu de rappeler au président de la République, professeur Faustin Archange Touadéra sa volonté de promouvoir les initiatives locales, autrement dit, entrepreneuriat national tel que défini dans son programme de société. Créer les commodités d’exercice dans ce secteur reviendrait d’une part à faire valoir les compétences nationales et d’autre part à exorciser les démons de la promotion de la main-d’œuvre extérieure qui, à n’en point douter, constitue dans le jargon financier, une évasion fiscale. Puisque, la plupart des capitaux sont, soient fournis par des nationaux, soient appartenant à des étrangers mais protégés par des parapluies métalliques centrafricains. La boulangerie Le bon Samaritain où son président directeur général accorde une importance très particulière dans la centrafricanité est un exemple à encourager pour un pays qui se veut responsable et qui promet un lendemain meilleur pour ses filles et ses fils.

Faustin Archange Touadéra à l’obligation de s’appuyer sur ces piliers déjà existants pour convaincre les indécis à sortir de leur réserve et à réaliser que la nouvelle du cycle de développement enclencher dépend de l’effort et de la collaboration sans complaisance de tous. Emboitons les pas à ces illustres compatriotes qui ont bravé toutes les entorses pour hisser le nationalisme centrafricain. Convaincu d’une larde possibilité de s’élargir dans certaines des préfectures de la Centrafrique, la boulangerie « Le Bon Samaritain » se voit dans le précieux besoin de s’engager après une quiétude dans toutes ces régions qui seront à la compétence engagée de son Excellence Professeur Faustin Archange Touadéra, Chef Suprême des armées.

Christian Mamadou/Magazine LDN

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